Cécile Mascarin | Sonothérapeute | Au Locle
- Estelle Borgeat
- 27 sept.
- 2 min de lecture
Cécile est sonothérapeute au Locle. Avec douceur et intuition, elle accompagne les personnes en quête d’harmonie intérieure à travers les vibrations des bols, des diapasons, des pierres, des couleurs et des sons. Pour elle, "vibrer" n’est pas qu’un mot : c’est une vocation.
Ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est voir le sourire se dessiner sur le visage de la personne qu’elle vient d’accompagner. Sentir la détente qui s’installe, voir le corps relâcher ce qu’il portait en silence, observer les effets subtils mais profonds des vibrations. Elle s’émerveille de la façon dont celles-ci trouvent naturellement leur chemin jusqu’aux endroits où elles sont nécessaires. Qu’il s’agisse de blocages physiques ou d’émotions enfouies.
Quelle est sa mission ?
Cécile parle souvent d’éveiller ou de réveiller le guérisseur intérieur de chacun·e. Elle est convaincue que nous avons toutes et tous en nous un immense pouvoir de guérison, souvent oublié ou étouffé. Son rôle : donner une impulsion. Aider à se reconnecter à ce qui est déjà là, à cette force vitale intérieure que l’on cherche trop souvent à l’extérieur.
Que propose-t-elle dans ses séances ?
Chaque séance est unique. En fonction de la personne et de ce qu’elle ressent, Cécile adapte ses outils : bols tibétains, diapasons, pierres, soins vibratoires. L’intention reste la même : offrir un temps de pause, d’harmonisation du corps et des émotions, un retour à soi en profondeur.
Comment prend-elle soin d’elle ?
La nature est sa première ressource. Elle aime s’émerveiller de sa beauté, marcher dans la forêt, respirer. Elle chante, seule ou dans un groupe de gospel, médite, reçoit aussi des soins comme la réflexologie. Les moments partagés avec ses proches sont précieux, mais elle veille à préserver l’équilibre avec des temps de solitude. Et surtout, elle avance sur un chemin intime : apprendre à s’aimer. Un processus profond, long, mais essentiel, qu’elle embrasse avec gratitude.
Son message pour la communauté ?
Un mantra qu’elle se répète souvent, simple et puissant : "Je m’aime, je m’autorise, je suis capable."





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